• Un ministre a rencontré une charmante jeune femme avec laquelle il a très envie de «passer aux actes».
    - Combien prenez-vous ? lui demande-t-il.
    - Monsieur le ministre, répond-elle, si vous êtes capable de relever ma jupe aussi haut que le niveau des impôts, de baisser ma culotte aussi bas que le niveau de l'emploi, d'être aussi dur avec moi que vous êtes tendre avec les criminels et de me baiser aussi bien que vous l'avez fait à vos électeurs, là, je vous le promets : pour vous, ce sera gratuit.


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  • Pourquoi le gouvernement français a-t-il mis une femme au ministère de la justice ?
    Réponse : Parce qu'il faut bien que quelqu'un s'occupe du parquet.


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  • C'est la première nuit d'amour entre Carla et Nicolas. Elle lui glisse à l'oreille :

    - Sois doux avec moi, je suis toujours vierge ...
    - Comment est-ce possible, demande Nicolas, tu as déjà eu tant d'homme ?

    - Eh bien, mon premier amant était responsable des ventes, il passait son temps à me dire à quel point ça allait être super.

    - Le second s'occupait d'un SAV. Il me disait toujours qu'il ne savait pas bien comment ça fonctionnait mais qu'il allait jeter un coup d'oeil et qu'il me tiendrait au courant.

    - Le troisième était informaticien. Il faisait des diagnostics mais ne pouvait pas traiter le problème.

    - Le quatrième faisait de la vente par correspondance et même en ayant la commande il ne pouvait pas me donner de date de livraison.

    - Le cinquième était ingénieur. Il comprenait bien le processus mais demandait trois ans de recherches supplémentaires et voulait revoir le design avant de se lancer.

    - Le sixième était dans l'administration. Il connaissait bien le problème mais se demandait toujours si c'était son boulot ou pas.

    - Le septième était dans le marketing. Bien qu'il trouve qu'il avait un super produit, il ne savait jamais comment le positionner.

    - Le huitième était psy. Tout ce qu'il faisait c'était d'en parler, d'en parler, d'en parler...

    - Le neuvième était gynéco. Il passait son temps à regarder, jamais plus.

    - Enfin, maintenant que je suis dans les bras d'un président et je suis vraiment excitée !

    - Mince, dit Nicolas, mais pourquoi es-tu si excitée ?

    - Hé bien parce que tu es un homme politique et que je suis sûre que tu vas vraiment me baiser !


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  • Le Président Sarkozy visitait une école primaire. Le professeur a demandé au Président s'il voulait bien mener la discussion autour du mot "tragédie".
    Alors l'illustre meneur demanda à la classe un exemple de "tragédie".

    Un petit garçon se leva et proposa :
    - Si mon meilleur ami, qui vit dans une ferme, était en train de jouer dans le champ et qu'un tracteur lui roule dessus et le tue, ce serait une tragédie.
    - Non, dit Sarkozy, ce serait un accident.

    Une petite fille leva la main :
    - Si un bus scolaire transportant 50 enfants tombait d'une falaise, et que tout le monde serait tué à l'intérieur, ça serait une tragédie.
    - Je crains que non, expliqua le Président. C'est ce qu'on appellerait une grande perte.

    Le silence se fit dans la salle. Aucun autre enfant ne se porta volontaire.

    Sarkozy chercha dans la salle.
    - N'y a-t-il personne ici qui puisse me donner un exemple de tragédie ?

    Finalement, au fond de la salle, un petit garçon leva la main ... D'une voix calme il dit :
    - Si l'avion présidentiel vous transportant était frappé par un tir de missile ami et était complètement désintégré, ça serait une tragédie.
    - Formidable !, s'exclama Sarkozy. C'est exact. Et peux-tu nous dire pourquoi ce serait une tragédie ?
    - Eh bien, dit le garçon, il faut bien que ce soit une tragédie, car ce ne serait certainement pas une grande perte, et probablement pas un accident non plus


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