• Le Président Sarkozy visitait une école primaire. Le professeur a demandé au Président s'il voulait bien mener la discussion autour du mot "tragédie".
    Alors l'illustre meneur demanda à la classe un exemple de "tragédie".

    Un petit garçon se leva et proposa :
    - Si mon meilleur ami, qui vit dans une ferme, était en train de jouer dans le champ et qu'un tracteur lui roule dessus et le tue, ce serait une tragédie.
    - Non, dit Sarkozy, ce serait un accident.

    Une petite fille leva la main :
    - Si un bus scolaire transportant 50 enfants tombait d'une falaise, et que tout le monde serait tué à l'intérieur, ça serait une tragédie.
    - Je crains que non, expliqua le Président. C'est ce qu'on appellerait une grande perte.

    Le silence se fit dans la salle. Aucun autre enfant ne se porta volontaire.

    Sarkozy chercha dans la salle.
    - N'y a-t-il personne ici qui puisse me donner un exemple de tragédie ?

    Finalement, au fond de la salle, un petit garçon leva la main ... D'une voix calme il dit :
    - Si l'avion présidentiel vous transportant était frappé par un tir de missile ami et était complètement désintégré, ça serait une tragédie.
    - Formidable !, s'exclama Sarkozy. C'est exact. Et peux-tu nous dire pourquoi ce serait une tragédie ?
    - Eh bien, dit le garçon, il faut bien que ce soit une tragédie, car ce ne serait certainement pas une grande perte, et probablement pas un accident non plus


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  • Un homme meurt. Comme il avait décidé de se faire incinérer, on le place dans un cercueil et puis, au feu.

    Le cercueil brûle, mais pas le corps du bonhomme.

    On le place dans un autre cercueil et l'on recommence. Même chose, le cercueil brûle, mais pas le type.

    Et la veuve déclare :

     

    - Cela ne m'étonne pas, ça fait 30 ans qu'il prend des anti-inflammatoires.


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  • Un fonctionnaire qui avait décidé de faire un peu de ménage dans les armoires de son bureau, trouve, caché sous une pile de cartons empoussiérés, ce qui ressemble fort à une lampe à huile en métal doré.

    Trouvant l'objet à son goût, l'employé de l'état décide de le ramener chez lui pour l'exposer sur sa cheminée. Le soir, alors qu'il est en train d'astiquer la lampe, un nuage de fumée envahit la pièce et un génie apparaît :

    "Je suis le génie de la lampe", dit l'être extraordinaire, "et je peux t'accorder trois voeux".

    Étonné et ravi, le fonctionnaire demande tout de suite :

    "Je voudrais être beau et musclé comme un top model masculin"
    Et aussitôt, le génie le transforme en bel Adonis.

    Le fonctionnaire demande ensuite :
    "Je veux être envoyé dans une île polynésienne uniquement peuplée d'indigènes nymphomanes !"
    Et d'un seul coup, le fonctionnaire atterrit sur une plage de sable blanc, au beau milieu d'un lagon, encerclé par des jeunes femmes qui jettent sur lui des yeux remplis de désirs.

    Au génie qui l'a accompagné, le fonctionnaire prononce alors son troisième souhait :
    "Je voudrais ne plus jamais avoir à travailler !" et POUF !
    Le fonctionnaire se retrouve assis à son bureau.


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  • Un homme raconte à son collègue ses vacances :

    - La première semaine, on a tout subi : la pluie, la neige, la grêle, le verglas, les tempêtes ... et la deuxième semaine, ça s'est gâté...

    - Et qu'est ce qui s'est passé ?

    - Ma belle-mère est arrivée ...


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  • Deux hommes discutent ...

    - Regarde, c'est superbe, tout sort de terre, tout revit. C'est le printemps !

    - Déconne pas, j'ai enterré ma belle-mère cette semaine ...


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